Dans le détachement se cache
La sagesse de l’incertain.
Cette sagesse nous libère des entraves créées
Par le passé, par le connu.
Elle ouvre la porte de la prison qu’a construite
Notre conditionnement au passé
En acceptant d’entrer dans l’inconnu,
Dans le champ de tous les possibles,
Nous nous abandonnons
À l’esprit créatif, au chorégraphe
De la danse de l’univers
(Deepak Chopra)
Dans la vie, on traîne des choses qui ne nous appartiennent pas…
Le détachement est mon chemin vers la liberté
Les qualités et les défauts de nos parents ne sont pas à nous.
Durant les sept premières années de la vie, on copie nos parents.
Par la suite on parle de l’âge de raison. C’est là qu’on doit choisir ce que l’on est, et le devenir…
Se détacher de ceux qu’on aime, c’est accepter ce qu’ils sont.
Une mère a souvent de la difficulté à couper le cordon. Aimer n’est pas prendre le contrôle de la vie des enfants.
On s’approprie nos amis…
La dépendance envers nos amis est souvent plus difficile à écarter qu’avec nos parents. On traîne des choses dont on n’a plus besoin. Il faut s’en libérer.
– Apprendre à vivre et laisser vivre.
– Apprendre à lâcher prise et à leur laisser leur liberté.
On garde souvent des biens dont on n’a plus besoin. Ces choses nous ramènent à vivre des émotions déjà vécus. On n’en a plus besoin!
De vieilles habitudes que l’on garde de peur d’être mal perçu.
Des ‘manies’ que l’on traîne inutilement avec nous. Il faut apprendre à faire des coupures. Il est temps de détacher ces boulets qui nous empêchent d’avancer.
Ce ne sont pas les gênes qui font qu’on reproduit les comportements de nos parents. On traine aussi des responsabilités, héritées de notre jeunesse. Ces lègues de ne nous appartiennent pas. Il serait temps de s’en détacher. Aussi longtemps qu’on ne parvient pas à le faire, on n’est pas libre.
Un air qui, nous rappelle un premier amour, nous fait pleurer. On n’a plus besoin de ça! Si je suis heureux dans le présent, pourquoi serais-je encore ému par de vieilles émotions oubliées?
Nous sommes capables de départir ce que l’on veut et ne veut pas…
Ma réalité est ce que je ressens, ici et maintenant.
Notre vérité se trouve à l’intérieur de nous.
Bon détachement!
Richard
* En période fiscale, occupé professionnellement, je publie un peu moins fréquemment. N’hésitez pas à partager ici ou à me contacter, VOUS ÊTES PRIORITAIRES! Je vous répondrai toujours rapidement et avec plaisir.
Comme deux oiseaux d’or perchés sur
L’arbre du Soi-Même, comme deux
Amis intimes, l’Ego et le Soi se répondent
Dans le même corps. Le premier
Mange les fruits doux et amers de
L’arbre de la vie, le second l’observe
Dans le détachement
Mundaka Upanishad
14 mars 2012 à 18 h 24 min
Tu as raison de prêcher le lâcher prise… le détachement. Toutefois, j’ai remarqué que plus on vieillit, plus c’est difficile…plus le passé remonte à la surface. Peut-être est-ce là un signe qu’on est vieux.
C’est tout un art que d’apprendre à vivre le présent ici et maintenant sans autres considérations et artifices. La méditation ne serait-elle pas un bon moyen pour atteindre un état de détachement ?
Lise
14 mars 2012 à 22 h 32 min
Hello Lise 😉
Merci de ton commentaire.
Tu as bien raison! C’est justement parce qu’on a un plus long vécu, qu’on traîne une multitude d’inutilité. S’en détacher nous rend plus léger…
La méditation est sans aucun doute un très bon outil pour s’ouvrir au lâcher prise et au désir d’explorer…
Richard
19 mars 2012 à 9 h 36 min
Bonjour Richard,
Tu dis dans ton texte: » Une mère a souvent de la difficulté à couper le cordon »
Ça me fait penser à la technique de : » Couper les cordes éthériques »
Ce sont des liens attachés à notre corps comme des tubes
permettant un échange d’énergie entre 2 individus.
Par exemple…
Si une personne est reliée par un tube (appelé corde éthérique) à une personne en colère…
Elle aura tendance à aspirer cette énergie et ressentira une douleur
dans la région du corps où le tube est attaché.
À l’inverse, si cette corde est attachée à une personne souffrant de dépendance affective…
L’énergie circulera alors plutôt vers elle.
L’autre personne se sentira épuisée sans trop savoir pourquoi et
aucune des méthodes habituelles pour faire le plein d’énergie
ne l’aidera à éliminer cette fatique.
Il n’y a aucune raison de nous inquiéter ou d’avoir honte des
cordes créées par la peur…
Car elles sont normales, surtout chez les personnes sensibles.
Vous pouvez facilement demander à l’Archange Michaël de
couper ces cordes chaque fois que vous éprouvez de la fatigue ou de la douleur.
Vous pouvez aussi lui demander d’envoyer de l’amour à ceux à qui vous étiez lié.
Même si vous ne pouvez pas voir ces cordes (laisses éthériques)…
Vous pouvez ressentir la fatigue, l’épuisement ou de la douleur physique
qu’elles entraînent sans aucune cause logique…
de même que le soulagement une fois qu’elles sont coupées par l’épée de l’Archange Michaël.
Michaël porte une épée et nous soulage de nos fardeaux.
Je lui demande de venir à mes côtés chaque fois que je me sens vulnérable et
que j’ai besoin de sa protection.
Tout le monde peut faire appel à Michaël et lui demander de couper les cordes de la peur.
Il suffit simplement de demander.
La façon de le faire importe peu, tout comme l’endroit où vous vous trouvez.
Michaël répond à chaque appel à l’aide.
Il nous aide à nous sentir en sécurité, protégé et immensément aimé.
Je termine en vous disant que Michaël est également un Archange Répare-Tout.
Faites appel à lui lorsque vous avez des problèmes d’ordre mécanique, électrique ou électronique.
Si vous vivez une urgence, ne soyez pas gêner de lui dire par exemple:
» Michaël j’ai besoin de toi maintenant…Fais en sorte que mon auto démarre »
Vous serez agréablement surpris de sa rapidité d’exécution.
Il lui arrive parfois de nous laisser une carte de visite pour
nous faire savoir qu’il était présent ou qu’il a entendu notre demande…
Cela peut se manifester de plusieurs manières.
(présence de plumes, la vue d’une affiche portant son nom et
il m’ait arrivé déjà suite à une demande…d’ouvrir soudainement ma radio et d’entendre l’animateur nous dire:
» Voici maintenant: » Here I Am ! de Michaël Jackson »
J’ai aussitôt ressenti une paix m’envahir et on aurait dit que quelqu’un me serrait fort dans ses bras…
C’est en janvier 1998 que je me suis ouverte au monde Angélique.
Plus que je m’entretenais avec eux et plus que ma vision de la vie changeait.
Je ne me souviens plus des circonstances, ni quand, mais
j’ai développé un p’tit faible pour l’Archange Michaël.
Il est devenu comme genre mon chou chou. hhihihih
Je ressentais qu’il m’avait prit sous ses ailes…
C’est comme s’il avait décidé de s’occuper de mon cas… hihihi
Il est devenu pour moi comme un Coach de Vie…
Je fais confiance en sa Guidance…
Il me guide de différentes façons.
Je vous en souhaite tout autant.
Ouvrez votre coeur et vous serez surpris des résultats.
Une belle journée à Tous !!!
Brigitte
19 mars 2012 à 10 h 54 min
Bonjour Brigitte,
Ton commentaire est le genre d’interaction que je souhaite sur le blogue.
Merci de partager!
Richard
10 mai 2012 à 21 h 17 min
Ton commentaire est le genre d’interaction que je souhaite sur le blogue.thanks for sharing such informative and fantastic post..
6 juin 2015 à 20 h 13 min
On ressent la volonté de connaître et comprendre le détachement dans vos propos…on ressent que vous ne savez pas ce qu’est une blessure de détachement, c’est pourtant l’essence du sujet que vous tentez d’effleurer
9 juin 2015 à 7 h 46 min
Merci Pierre pour ton commentaire.
Après avoir relu quelques fois l’article, je ne parvenais pas à capter la dimension de tes propos.
J’avais commencé à répondre, mais je ne sentais pas que mes mots étaient sur la même longueur d’ondes que toi.
Hier, j’ai donc laissé ça de côté, en attendant d’être éclairé.
Ce qui m’est venu, est que certains êtres semblent ‘aimer’ se baigner dans la douleur et ne s’en détachent pas.
Ils semblent éprouver une crainte de perdre à nouveau, si la douleur les quitte.
C’est comme lâcher prise, sauf que…
Les blessures peuvent être longues à cicatriser, mais la Vie t’apprendra sans doute, si tu le souhaites, que tu as tous les pouvoirs pour transmuter la douleur.
Le détachement n’est pas un perte, c’est aimer différemment…
Je te suggère la méthode Hohoponopono:
Désolé – Pardon – Je t’aime – Merci
J’en ai parlé ici:
http://lesjardinsdeguerison.com/affections/hooponopono-programme-de-guerison/
Écoutes tes propres réponses, tu les recevras.
On n’entend vraiment bien qu’avec le coeur.
Bon moment présent,
Bien amicalement,
Richard.