«Notre plus grande peur n’est pas que nous soyons inadéquats. Notre peur la plus profonde est que nous soyons puissants au-delà de ce qui est mesurable. C’est notre lumière, pas notre obscurité, qui nous effraye le plus.»
Citation de Marianne Williamson (qui a été citée aussi par Nelson Mandela au moment de son discours d’inauguration)
Afin de vous donner le goût de participer à l’effort de guérison de la Terre, voici un message qui pourra transformer votre vie et celle des autres. Je vous invite à intégrer véritablement son essence.
En 1995, une psychiatre nommée Elisabeth Targ a mené une étude sur vingt patients qui souffraient du sida. Vingt sidéens dont la maladie était avancée au même stade. Le sujet de son étude: la guérison à distance.
Dr Targ a séparé les vingt patients en deux groupes. Le premier groupe allait recevoir seulement les traitements offerts par la médecine conventionnelle, rien d’additionnel. Le deuxième groupe, par contre, allait recevoir également des traitements de guérison à distance.
Je vous donne plus de détails…
Les photos des dix patients de ce deuxième groupe ont été envoyées à 40 guérisseurs partout sur la planète, incluant des shamans, des rabbins, des personnes qui pratiquent le Qi Gong, etc… Ils utilisaient une variété de techniques de guérison – par exemple le chant sacré et la visualisation. Pendant dix semaines, les 40 guérisseurs ont pratiqué leur rituel une heure par jour sur un des patients. Notons qu’ils vivaient en moyenne à 2 500 km de ces derniers. Tout était fait à distance.
Voici les résultats de l’étude… Je sais que nous sommes tous un peu blasés devant la quantité d’information que nous recevons chaque jour, mais je vous invite vraiment à vous laisser être touché par ce qui suit:
• Pendant les six mois qui ont suivi l’étude, 40 % des patients qui étaient dans le premier groupe (celui qui ne recevait pas de traitements à distance) sont décédés. Or, tous les patients qui avaient reçu des traitements de guérison à distance étaient non seulement vivants, mais plus en santé qu’avant.
• Les patients du groupe «avec traitements» ont passé en moyenne six fois moins de temps à l’hôpital et ont contacté trois fois moins de maladies liées au sida. (En fait, le groupe «sans traitement» a passé au total 68 jours à l’hôpital pour traiter 35 maladies liées au sida. L’autre groupe a passé seulement 10 jours à l’hôpital, pour traiter seulement 13 maladies.)
Et on ne peut attribuer ces résultats à l’effet placebo, puisque les patients ne savaient pas dans quel groupe ils étaient.
Il s’agit ici d’une étude sérieuse qui a été répliquée quelques années plus tard par Mme Targ (cette fois sur 40 patients), et publiée dans le prestigieux Western Journal of Medicine (numéro de décembre 1998). Et je relate aujourd’hui une étude spécifique, car cela me semblait plus percutant que de dire «plus de 150 études prouvent les effets positifs de la guérison à distance». Mais c’est un fait: il y a effectivement plus de 150 autres études qui le prouvent.
Évidemment, on aimerait tous pouvoir enlever instantanément les maladies de nos amis ou «annuler» complètement tous les ravages d’un tsunami ou d’un tremblement de terre…
Cette article et l’étude que je viens de citer m’a été transmise il y a quelques années. Je n’ai malheureusement pas la certitude de l’identité de l’auteur. Je crois sincèrement qu’il s’agit de Stéphane Trudeau qui m’a longtemps motivé.
Voici ce qu’il propose afin de passer à l’action et utiliser vos pouvoirs pour faire la différence :
MISE EN PRATIQUE
Peut-être vous demandez-vous comment apporter de l’aide à distance comme les guérisseurs de l’étude… J’ai décidé d’ajouter une section plus partico-pratique pour ceux qui souhaitent mettre immédiatement en pratique ce que nous venons d’explorer.
La première étape, à mon avis, est de frétiller. Vraiment! De réaliser à quel point il est extraordinaire de pouvoir faire une différence réelle et mesurable dans la vie des personnes qui nous sont chères, et même dans la vie de personnes que l’on n’a jamais rencontrées. C’est géant en soi, vous ne trouvez pas?
Pour le reste, en ce qui concerne la «technique», je dirais que c’est vraiment l’intention qui compte, ici! 😉 D’ailleurs, même Elisabeth Targ (celle qui a mené l’étude mentionnée plus haut) a observé que le choix de la méthode de guérison ne semblait pas important, en autant que le guérisseur ait une intention que le patient guérisse. Et je dis bien «ait une intention que le patient guérisse», non pas «une intention de guérir le patient»… Car la majorité des guérisseurs indiquaient qu’ils étaient branchés à une force supérieure et qu’après avoir émis leur intention, ils ne faisaient que laisser la lumière ou l’amour opérer. Ils étaient en quelque sorte des «messagers».
Pour continuer, les traitements de «guérison» (au sens large) les plus puissants ne sont pas une projection de douleur ou de tristesse, mais une sorte de débordement d’amour. En fait, voici comment je mets le tout en pratique personnellement, si cela peut vous inspirer: je m’installe confortablement, les pieds bien à plat contre le sol pour être bien ancrée. Je respire profondément pour me centrer… Puis graduellement, je forme et nourris une sorte de boule d’amour en moi. Je pense à diverses choses agréables, je laisse ma joie naturelle monter et circuler… Lorsque je me sens profondément «amoureuse» et connectée, j’amène une personne (ou un groupe de personnes) à mon esprit et je projette vers elle cette boule d’énergie. Mon intention n’est pas: «Tu vas mal, j’espère que tu iras mieux.» C’est beaucoup plus large, plus vaste, et difficile à verbaliser. C’est une sorte de débordement d’amour, un désir pur et simple que la personne aille délicieusement bien. Et ce n’est pas «ma» joie que je donne, c’est plus une sorte de fluide de vie qui passe à travers moi.
Voilà.
Aussi (en fait, c’est ce que je fais la majorité du temps), quand je ressens de grandes vagues de bien-être ou d’appréciation au quotidien – souvent, lorsque je suis dans la nature – je prends un moment pour faire ce que je viens de décrire, j’éclabousse spontanément quelques personnes de ce qui m’habite. Ça ne prend qu’un instant.
Finalement, si une personne était malade, je localiserais probablement la «boule d’énergie» à un endroit et je sourirais avec gratitude en sachant (et en sentant) qu’elle dissout allégrement tout ce qui est indésirable, ne laissant qu’une belle empreinte saine. En fait, je remarque que quoi que je fasse, je souris. C’est mieux que projeter des babounes, je me dis. 😉
Merci à Stéphane pour le contenu de ce message et ce super mode d’emploi.
Ayant cessé de travailler auprès des personnes âgées, depuis près d’un an, je continue à veiller sur eux. C’est la technique que j’utilise. Étant très occupé au développement de nombreux projets et à la pratique quotidienne de l’autoguérison, les journées passent vite. J’ai tendance à les ‘oublier’ un peu…
On a de merveilleux et puissants pouvoirs. Les utiliser ne nous enlève rien, au contraire ils nous rendent plus forts! N’oubliez pas qu’il faut que l’on «ait une intention que le patient guérisse», non pas «une intention de guérir le patient ».
Ensemble soyons la différence!
Richard
16 février 2012 à 17 h 31 min
Bonjour Richard,
Je suis très heureuse de trouver un article sur les soins à distance sur ton blog. C’est un sujet que j’ai toujours un peu de mal à aborder pour expliquer aux personnes qui me contactent que l’on peut effectuer de tels soins à distance. Pourtant, ces derniers sont extrêmement important dans le processus d’autoguérison. en ce qui me concerne il m’est plus facile d’envoyer de la lumière et de l’amour à distance qu’en présentiel. Je te remercie donc pour cet article limpide.Je t’invite également à venir me visiter sur mon blog. Tu pourra constater que nous avons quelques points communs à commencer par notre thème wordpress ;-). Bien à toi