Des chefs de partis politiques débattent. La plus grande préoccupation des électeurs est la santé. Le système va mal. Les urgences sont débordées. Dans tous les départements, les listes d’attentes sont très longues. Chaque citoyen n’a pas accès à un médecin…
Deux d’entre eux ont été ministres de la santé. L’un a réduit les ressources humaines, pour équilibrer les budgets. L’autre veut augmenter le nombre de noms sur la liste de clients de chaque médecin. Il veut réduire les salaires des pharmaciens et les profits des compagnies pharmaceutiques. Enfin, celui qui veut se faire réélire, veut croire qu’en investissant d’avantage on allègera l’impasse.
En quelques minutes, ils ont dépensé plus de la moitié du budget de la nation à essayer de rafistoler un système. Mise à part, Madame David, ils n’ont pas touché à l’essence du sujet :
VIVRE EN SANTÉ.
Un environnement sain prédispose à une vie saine. Une meilleure alimentation, des activités plus appropriées à l’exercice physique et une éducation qui motive les jeunes à choisir de vivre heureux et en forme, pourraient-elles devenir des priorités?
Le stress est à la base de la plupart des problèmes de santé. Combien coûte la méditation? Faut-il des milliers de scientifiques pour alléger ou réviser l’hyper médication? Des clubs de santé pourraient donner le goût de se connaître, de s’aider, de s’aimer un peu plus. Pourquoi donner nos pouvoirs et nos ressources? Essayons de les redécouvrir et de partager nos expériences.
Le corps est une superbe machine. Il a été conçu autonome, auto suffisant. Il possède ce qu’il faut pour auto guérir. On a perdu nos connaissances innées. On nous a éduqués et rendus dépendants. Pourrions-nous retrouver notre indépendance, si nous le recherchions?
Comme solution aux problèmes de la santé publique, je propose aux ministres d’engager gratuitement, tous les guérisseurs qui sont en nous!
Bonnes réflexions,
Richard
Confusion
La pratique, c’est quand ça marche, mais que l’on ne comprend pas.
La théorie, c’est quand on comprend, mais que ça ne marche pas.
Souvent, théorie et pratique se rejoignent: rien ne marche et on n’y comprend rien.
-Michel Cardinal (La blague du jour de Planète Québec du 20 août 2012)
20 août 2012 à 18 h 15 min
Bonne synthèse du débat du 19 août /santé.
Oui la prévention est le meilleur investissement pour la santé.
Une fois dans le système curatif, malgré toute l’argent investi, cela peut aussi être agressant…n’y a-t-il pas de milieu plus malsain en termes d’agents pathogènes que le milieu hospitalier ? On entre pour une maladie et on en ressort avec une autre…l’hôpital et les salles d’attente de cliniques sont les meilleurs endroits pour les microbes.
Par ailleurs, le milieu de la santé est le meilleur milieu pour être « être agressé » psychologiquement donc encore plus affaibli… Le personnel est + oritenté vers la tâche que sur l’humain. La santé holistique n’est pas un concept compréhensible en médecine traditionnelle et particulièrement dans les hôpitaux.
Autant que possible, j’aime mieux faire confiance à l’homéostasie du corps i.e. à la recherche constante d’équilibre et de compensation du corps humain… le voilà notre auto-guérisseur… mais il doit faire appel aussi au « psyché » pour faciliter la guérison ou le maintien de la bonne santé et pouvoir toujours renaître de jour en jour !
Hourra pour la méditation, le rictus (sourire) et l’oxygénation naturelle ! Tu as raison ça ne coûte rien !
20 août 2012 à 19 h 49 min
Merci pour ton commentaire, Lyse!
Il est très pertinent.
L’aspect politique et financier des aidants naturels n’est pas très rentable du point de vue des politiciens.
Les personnes qui accompagnent les patients, souvent malades, sont aussi touchées par les problèmes que tu présentes.
Souvent, ce sont elles qui seront affectées physiquement et moralement aussi.
Pour cette clientèle à risque, il y a beaucoup à faire. C’est une zone grise, pratiquement indispensable et très efficace, compte tenu du peu de ressources dont ces aidants disposent.
J’aimerais voir ces considérations placées au dessus de la pile des soucis de la « santé publique ».
20 août 2012 à 20 h 26 min
Très intéressant de se faire rappeler ca. C’est tellement vrai et simple à la fois. Je partagerai ton blog pour le faire découvrir à d’autres gens que je connais. Bonne soirée Richard.
20 août 2012 à 22 h 44 min
Merci Éric!
Tu as raison, c’est si simple que ça ne « pèse » presque rien dans la balance politique. L’ouverture d’esprit, la confiance en soi et le potentiel positif qu’aurait l’entraide ne donnent pas de pouvoir ni de prestige aux dirigeants. Une solution est proclamée si l’ego politique peut en profiter. Je crois que l’éclairage viendra de l’Ëtre que nous sommes vraiment…
À bientôt 😉
22 août 2012 à 23 h 35 min
Merci ! Bien moi je regarde dans le passé et je fais allusion au pouvoir, dans la quête du pouvoir de chaque personne comme dans le cas de la politique actuel chaque prise de pouvoir a été soit précédé ou succédé d’une énergie négative, car le pouvoir est lié selon moi d’un sentiment de profonde égoïsme envers autrui, pouvons nous vivres dans un monde ou tout les habitant sont égaux ??
Oui Richard je crois en tes paroles pouvons nous apprendre par nous même et faire marché notre matière grise tout seul, au lieu de se faire dire quoi faire et quoi dire comme un fermier dirige sont bétail, pour son profit personnel.
Soyons libre et arrêtons de donner du pouvoir au vampire qu’est la politique !!!
Raphael
23 août 2012 à 14 h 20 min
Merci de ton commentaire Raphael.
Le réel Pouvoir est en nous. On doit réapprendre à l’utiliser.
Je ne sais pas si ces débats apportent de nouvelles énergies aux électeurs?
Personnellement, je me pose beaucoup de questions à savoir s’ils prennent leurs électeurs pour des ‘valises’?
Chose certaine c’est qu’on exploite beaucoup la peur et, très peu, l’espoir…
Bye 😉